LE GRENIER D'AZELINE

Couverture d’ouvrage : LA JABOTIERE - Le grenier d'Azeline - Tome 2
Éditions :Livre - 2011/05/15: 19,90 €
ISBN : ISBN - 978-2-9538230-1-1
Taille : 16,00 x 21,00 cm
Pages : 361

SYNOPSIS :

  • Dans ce roman, l'auteure, Mich Neveux, vous fera découvrir le monde insoupçonné de l'Afrique Équatoriale, à Abidjan, en côte d'Ivoire.

  • Azéline, notre héroïne du tome 1 - LA JABOTIERE - Le soleil triste, y sera confrontée...

  • Vous découvrirez avec elle les rites impitoyables de la sorcellerie vaudou et les us et coutumes de ce territoire implacable.

  • Les années ne l'ont pas épargnée. Elle rentre dans ses pénates, dans la petite ville du Trait, en Normandie, et devient tavernière dans un bar à concert de la région, un "pub à l'anglaise", où la musique s'allie à sa passion intrinsèque : La peinture.

  • "Les histoires d'amour finissent mal, en général..."

  • Des tragédies, peut-être ? ... Qui font que toute âme à un récit à relater, et un livre à écrire.

  • Un retournement dans sa quête du bonheur vous surprendra...

  • Devenue cette Mélusine qui a fait battre plus d'un cœur, elle rencontre l'amour quand elle n'y croit plus... C'est un jeune homme ; il est beau, généreux, et il l'aime...Comme la flamboyante actrice Joan Collins, dont le mari est de trente ans son cadet, elle vous parlera de la différence d'âge.

  • "S"il meurt... Eh bien, il meurt!", Dit-ell

 

 

 

Parution :
Maison d’édition : auto-édition
Artistes de couverture :
Genres :
Extrait :

- Un mois après être rentrée en Normandie, elle emménagea dans un appartement qui se libérait, dans le quartier résidentiel du "Val de Seine", au trait. Celui-ci se situant au quatrième étage d'un immeuble, offrait une vue superbe sur la Seine.

  • Elle pouvait ainsi voir passer les bateaux qui arrivaient de l'estuaire du Havre, et remontaient le fleuve jusqu'au port de Rouen, pour décharger leurs marchandises. Ils repassaient deux à trois jours plus tard,pour reprendre la mer. certains, plus petits et plus plats, comme les péniches passaient sous les ponts de la grande ville pour remonter jusqu'à la Capitale. Parfois, elle voyait la proue d'un bâtiment, un château de milieu qui se détachait à l'horizon. Son pouls s'accélérait. Elle regardait se profiler devant-elle l'énorme carcasse, ne parvenant pas à déchiffrer son nom das la brume qui émergeait de l'eau.

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    Un Cargo de la Cie Delmas, un Panama, passait encore parfois sur le fleuve, et alors, son cœur palpitait... Mais il ne s'agissait pas du Lusonia.

  • Elle y pensait encore et toujours ; mais peu à peu; le visage de Damir s'estompait dans les tourbillons impénétrables de cette eau mouvante.

  • ... / ...

 

 

 

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