Couverture d’ouvrage : UN ÉTUDIANT A SANG FROID - Le triton des marais
Éditions :Livre - 2ème édition
ISBN : ISBN - 979-10-326-1203-7
Taille : 16,00 x 24,00 cm
Pages : 224

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  • SYNOPSIS :

  • Campé dans la région brumeuse de Rouen et les senteurs méridionales de la Provence, ce thriller nous plonge dans une intrigue sombre et palpitante. Hugo a subi un traumatisme après le départ de son père, alors qu'il n'avait que huit ans. Sa vie se noircit petit à petit par des meurtres, mais pourtant, il n'éprouve aucun remords. Sur ce chemin scabreux, il fera des rencontres qui l'aideront à mieux se comprendre... Ce roman nous glisse dans la peau d'un meurtrier que nous ne parvenons toujours pas à détester car il est humain, tout simplement. La part belle est donnée à la psychologie des personnages et leur évolution conduit vers un dénouement tragique et émouvant. La mystérieuse première personne de la narration nous offre une approche intimiste, dont l'identité n'est révélée qu'à la toute fin, après un suspens maitrisé.

  • Biographie de l'auteure :

  • Baignée par les arts dès son plus jeune âge, Michèle Neveux se partage entre la peinture et la littérature. Gérante d'une Société de la métallurgie, elle part travailler à Abidjan, en Cote d'Ivoire, avant de regagner définitivement ses pénates en Normandie, où elle crée un atelier de peinture, entourée de vingt-deux élèves. Elle se consacre ensuite à l'écriture. Ses voyages, ses rencontres, sa perspicacité et son imagination débordante font qu'elle ne connaît pas "la page blanche", ce qui lui permet de coucher sur le papier les protagonistes de ses romans pour les faire évoluer.

 

Parution :
Maison d’édition : Les éditions Sydney Lauret
Éditeurs :
Genres :
Extrait :

…EXTRAIT :

Le sautoir scintille de mille feux. Un collier, quelques bagues “ Ont-ils de la valeur ?… La misère engendre la misère… Ah, pauvres de nous !… Si ta mère retrouvait sa lumière, ses lustres d’antan, à l’époque où tout baignait, ton père à ses côtés ?”.

Tu ne ressens plus la haine, mais une grande culpabilité. Dans ta chambre, tu ranges ton larcin sous une latte de parquet et te couches. D’un coup, comme la corde d’une arbalète, tous tes nerfs se relâchent.

  • Qu’as-tu fait là, malheureux ?

Tes mains pressent ton front ! Tu ne songes plus qu’à mourir… Des images morbides défilent devant toi. Le bras qui brandit l’arme, la femme qui se débat en poussant d’affreux hurlements

“ Voulait-elle ameuter le quartier ?”